III.I.V.Iconographie
III.I.V.I.Le Caillou dans tous ses états
De la ferme du 18e au musée contemporain, le Caillou s’illustre sous toutes les formes depuis près de trois siècles. Vos contributions sont les bienvenues ([email protected]) !
Le Caillou en 1731
Cet extrait du relevé des possessions de l’abbaye d’Affligem montre l’implantation du Caillou (à droite du pli de la page, à hauteur de la légende Bouquéau). Le cartouche précise que le géomètre atteste, au mois d’août 1731, que la mention « x » (qui désigne le Caillou) a une superficie de 1 bonnier [près d’un hectare] et autant deux vergers ¹.
¹ Jaak Ockeley, Kaartboek van de Abdij Affligem, 1717-1752, Volume 8 van Cartografische en iconografische bronnen voor de geschiedenis van het landschap in België, Algemeen Rijksarchief, Brussel, 2003, pages 270 et 271.
Vue aérienne du Caillou - 1965
Cette carte postale a été envoyée le 31 mai 1965 par Théo Fleischman, président de la Sben, à monsieur Ferdinand Boyer (1892-1976), historien de l’art, membre de l’Institut Napoléon, spécialiste de la période française en Italie et de Stendhal. L’allusion de Fleischman à un bulletin devant paraître à la fin du mois de juillet concerne fort probablement l’envoi du texte de Boyer paru dans le n° 53 (décembre 1965), Comment fut décidé en 1815 la restitution par la France des œuvres d’arts de la Belgique. Un autre article du même auteur a paru dans le n° 80 (septembre 1972) : Le Directoire et les Musées des départements réunis à la Belgique (collection Claude Van Hoorebeeck).